Nos quatre principales stratégies pour un programme de gestion du handicap réussi

La maladie et les blessures peuvent toucher n'importe qui, n'importe quand. En fait, le risque de souffrir d'une invalidité pendant trois mois ou plus avant l'âge de 65 ans est de un sur trois. Si un de vos employés se remet d'une blessure ou d'une maladie, il peut avoir besoin d'aide et de soutien pour reprendre le travail.

La rentabilité et l'augmentation des ventes sont au cœur de tous les objectifs commerciaux. D'autres objectifs, tels qu'un service à la clientèle exceptionnel, des produits/services de qualité et l'amélioration des processus, sont mis en place pour atteindre en fin de compte cet objectif principal : la rentabilité et l'augmentation des ventes. Les processus RH sont intégrés dans la réalisation de ces objectifs : recruter les bonnes personnes, définir les attentes, les motiver et veiller à ce qu'elles soient heureuses et, en fin de compte, productives. Si les employés sont au travail et performants, les entreprises prospèrent.

D'autre part, les maladies et les blessures peuvent entraîner l'absentéisme. La prise de congé peut entraîner une perte de temps et, par conséquent, une perte d'argent. Les programmes de gestion de l'invalidité sont mis en place pour rationaliser ce processus. Chez TeksMed, nous comprenons qu'un certain nombre de facteurs entrent en jeu lorsqu'il s'agit d'aider un employé à se rétablir et à reprendre le travail. C'est pourquoi nous utilisons une stratégie à quatre volets pour aider les employeurs à s'assurer que leurs programmes de gestion de l'invalidité sont efficaces et couronnés de succès.

Dans cet article, nous présentons nos quatre principales stratégies de gestion du handicap :

 

Stratégie #1 : Intervention et soutien précoces

Il est de notoriété publique que plus les patients sont soignés rapidement, plus ils ont de chances de se rétablir correctement et rapidement. Pourtant, les temps d'attente dans notre système de santé actuel peuvent être considérables. Grâce au service exclusif de soins de santé accélérés QuikCare de TekMed, un travailleur blessé peut recevoir des soins beaucoup plus rapidement.

Par exemple, le temps d'attente moyen pour consulter un spécialiste dans le système public est de 9,4 semaines [1]. Avec QuikCare, le temps d'attente moyen n'est que d'une semaine. Pour bénéficier d'une IRM dans le système public, les patients doivent généralement attendre plus de 11 semaines, alors qu'avec QuickCare, le délai d'attente est inférieur à 3 jours.

Grâce à une intervention et à un soutien précoces, les travailleurs accidentés peuvent être diagnostiqués plus tôt et commencer un traitement plus tôt. Ils ont ainsi de meilleures chances de se rétablir complètement.

Stratégie #2 : Voir la capacité

Même si un travailleur blessé est incapable d'effectuer toutes les tâches qu'il effectuait avant sa blessure, cela ne signifie pas qu'il est incapable de travailler. En fait, permettre à un employé d'effectuer les tâches dont il est capable contribuera à maintenir un lien et peut être bénéfique pour sa santé psychologique.

Apporter le soutien nécessaire à un employé pour qu'il reprenne son travail peut être aussi simple que de s'assurer qu'il a un moyen de transport pour se rendre au travail, de réduire ses heures de travail ou de lui offrir des pauses plus fréquentes. De telles solutions ne coûtent que peu ou pas d'argent à l'employeur, mais elles engagent l'employé et contribuent à sa réintégration.

Stratégie #3 : Communication

La communication est un élément essentiel de tout programme de gestion du handicap et de toute relation employeur/employé.

Si un travailleur est en congé d'invalidité, il peut être utile qu'un responsable ou un autre membre de votre équipe prenne périodiquement contact avec lui pour savoir comment il va. Il est recommandé de programmer ces appels à des heures précises afin que le travailleur en convalescence ne se sente pas imposé.

Une fois que l'employé a repris le travail, la communication est tout aussi importante. Qu'il s'agisse d'une blessure physique ou d'une affection mentale telle que le syndrome de stress post-traumatique, un employé qui reprend le travail peut avoir besoin d'aménagements particuliers. Il est essentiel de maintenir les lignes de communication ouvertes pour savoir ce dont il a besoin et le lui fournir.

Stratégie #4 : Fixer des objectifs

Enfin, aucun programme de gestion de l'invalidité ne serait complet sans la fixation d'objectifs clairs et mesurables. Il peut s'agir d'objectifs de retour au travail, tels que la fixation de dates de retour au travail ou de tâches à accomplir par l'employé. Il peut s'agir d'objectifs d'adaptation, comme le changement d'équipe ou la reconfiguration d'un poste de travail. Vous pouvez également fixer des objectifs de communication, comme des réunions hebdomadaires ou bihebdomadaires avec l'employé pour vous assurer qu'il reçoit ce dont il a besoin pour réintégrer l'équipe.

En collaborant avec l'employé pour fixer ces objectifs, vous l'aiderez à sentir qu'il fait partie du processus et vous serez en mesure d'obtenir un retour d'information sur le réalisme des objectifs.

La gestion de l'invalidité des employés est un défi pour la plupart des employeurs, mais avec le bon soutien, cela peut être un succès. Pour plus d'informations ou pour planifier une consultation, contactez TeksMed dès aujourd'hui.

 

[1] https://www.fraserinstitute.org/studies/waiting-your-turn-wait-times-for-health-care-in-canada-2016

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